Études et publications
L’écomobilité scolaire en territoires peu denses
L’enjeu des mobilités est particulièrement crucial dans les zones peu denses, mais les ressources techniques, sociales et économiques y sont aussi moins importantes, ainsi que les alternatives à la voiture.
La configuration spatiale des fonctions et des activités des territoires peu denses, freinent l’impulsion de solutions alternatives à la voiture individuelle telles qu’elles sont développées en ville. Les distances entre le domicile et l’école sont plus importantes, traversées par des routes à grande vitesse, avec peu d’infrastructures en faveur des modes actifs ou sur un maillage qui ne répond aux trajets vers l’établissement scolaire. Enfin, les contraintes liées au relief jouent également un rôle crucial dans le développement des mobilités actives, freinant ainsi leur utilisation.
Rendre possible le développement du vélo en territoires peu denses
Quelles sont les spécificités et le potentiel de développement l’usage du vélo en territoires peu denses ? Ces territoires où vivent la moitié des français.es constituent un enjeu pour les mobilités actives.
Les expériences de collectivités adhérentes du Réseau enrichissent les indicateurs et l’état des lieux de l’usage du vélo dans ces zones à faible et moyenne densité dans lesquelles devrait vivre 56 % de la population métropolitaine à l’horizon 2030. Ce dossier dévoile les politiques menées dans les communautés de communes Erdre & Gesvres (Pays de la Loire) et du Pays de Lumbres (Hauts-de-France), dans les communes de Dainville (Hauts-de-France), Mios (Nouvelle-Aquitaine), Loos-en-Gohelle (Hauts-de-France) et sur le Pôle d’équilibre territorial et rural de Sélestat (Grand-Est).