Aménagements cyclables
Pistes cyclables
Une piste cyclable est une voie exclusivement réservée aux vélos et , physiquement séparée de la chaussée (par un trottoir, des plots, une bordure ou un terre-plein). Elle offre une sécurité renforcée en limitant les interactions avec les véhicules motorisés. La largeur souhaitable d’une piste cyclable est de 2 à 2,5m en unidirectionnel et de 3 à 4m en bidirectionnel, selon le débit cycliste prévu.
Combien ça coûte ?
- Piste cyclable :
- unidirectionnelle : 590€HT le mètre linéaire (2023) ;
- bidirectionnelle : 636€HT le mètre linéaire (2023)
Exemples de projets
Coût des aménagements : 689 000€/km
Coût global de la requalification de la rue : 1 600 000€
La métropole de Nancy a transformé une voie automobile de la rue Jeanne d’Arc en une piste cyclable bidirectionnelle de 900 m (2,5 m de large), avec un enrobé clair perméable et drainant. La requalification inclut aussi des arbres pour lutter contre les îlots de chaleur.
Coût des aménagements : 515 000€/km
Coût global des travaux : 283 500€
À La Ville aux Dames, deux pistes cyclables unidirectionnelles ont été aménagées sur l’avenue Jeanne d’Arc, distinctes du trottoir par un revêtement spécifique. La voirie a aussi été requalifiée avec plateaux surélevés, arrêts de bus et fosses végétalisées.
Coût des aménagements (incluant la reprise du carrefour) : 760 000€/km
En 2021, La communauté urbaine du Havre a aménagé une piste bidirectionnelle de 1 km (3 m de large) sur la rue du 329e RI, avec îlot et requalification du carrefour, pour relier les villes basse et haute. Elle remplace une piste transitoire installée fin 2020.
Coût des aménagements : 1 000 000 € TTC/km
En 2021, la métropole de Toulouse a réalisé une piste cyclable en enrobé rouge drainant de 4 m de largeur avec trottoir de 2 m en béton clair dans le cadre du son réseau express vélo sur l’avenue Jean Monnet à Colomiers (31).
Bandes cyclables
Une bande cyclable est un espace réservé aux vélos, matérialisé par un marquage au sol (ligne discontinue ou continue) sur une chaussée partagée avec les véhicules motorisés. Elle n’est pas physiquement séparée de la route et reste dans l’emprise de la voie publique. Les automobilistes peuvent parfois l’emprunter pour des manœuvres (stationnement, dépassement). Son usage est recommandé pour les cyclistes, mais non obligatoire.
Combien ça coûte ?
- Bande cyclable : entre 85€HT et 250€HT (2023)
- Coûts de la sur-largeur de la bande cyclable, reprise éventuelle du caniveau, marquage (pictogramme vélo), signalisation (C113/C113a pour cheminement non obligatoire, B22/B22a pour obligatoire, M12, flèches de sens).
Exemples de projets
Coût du marquage (dont bandes cyclables), reprise de la signalisation : 32 355€
Rapporté au km de voirie aménagé : 21 570€/ km
Coût de l’aménagement total : 220 528€
Rapporté au km de voirie aménagé : 147 000€/ km
Bourges Plus a aménagé en 2022, dans le cadre de son plan vélo (17 liaisons, 51 km), une bande cyclable bidirectionnelle de 1,25 km (2,25 m : 1,5 m utiles + marquage + empiétement) sur l’avenue du Général de Gaulle, après réduction à 2×1 voie. Les intersections sont sécurisées par chevrons et résine gravillonnée. Une piste unidirectionnelle de 250 m prolonge l’aménagement au sud.
Voies vertes
Les voies vertes sont des itinéraires aménagés pour les modes actifs interdits aux véhicules motorisés. Elles empruntent souvent d’anciennes voies ferrées, chemins ruraux ou chemins de halage, et sont généralement en site propre, avec un revêtement adapté.
Pour plus de renseignements sur les caractéristiques techniques de chaque aménagement, voir les préconisations du Cerema.
Combien ça coûte ?
- Voies vertes : coût moyen 415€HT/m (2023)
- Le coût d’aménagement d’une voie verte varie : signalétique seule si la voie existe déjà, réaménagement (ex : ancienne voie ferrée, largeur 4 m), création complète d’une voie en site propre (4 m).
Exemples de projets
Coût de l’opération : 146 000€/km
L’agglomération a aménagé un tronçon de 3 m de la véloroute du Gâtinais sur l’ancien chemin de halage du canal de Briare (Montargis-Conflans-sur-Loing) : structure en calcaire, revêtement en grave émulsion, accès reprofilés en enrobé à chaud et aires de pique-nique.
Coordonnées des services de l’Agglomération Montargoise et rives du Loing (45)
Coût de l’opération : 637 000€/ km
En 2020, la communauté urbaine a créé une voie verte touristique de 3 km (EuroVélo 8) entre Balaruc-le-Vieux et la gare de Sète : enrobé végétal, barrières bois, mobiliers (pique-nique, stationnement), 300 plots solaires et compteur cyclable, avec plantations d’arbres et prairies en bordure.
Coordonnées des services de la CA Sète Agglopole Méditérannée (34)
Coût rapporté au km : 355 000€/ km
L’agglomération a réalisé sur une ancienne emprise agricole, une voie verte desservant une zone d’activité, située dans une zone rurale (Ingré et Saint-Jean-de-la-Ruelle). Cette voie cyclable, indépendante de la route, possède un revêtement en béton. Le projet a été soutenu par la dotation de soutien à l’investissement local (DSIL).
Chaussée à voie centrale banalisée
La chaussée à voie centrale banalisée (CVCB), aussi appelé « chaucidou », est une route étroite sans marquage axial, où les véhicules utilisent une voie centrale bidirectionnelle et les cyclistes roulent sur les accotements revêtus (rives). En cas de croisement, les véhicules empruntent la rive après vérification. Utilisé sur des routes à faible trafic, notamment dans des territoires peu denses, cet aménagement offre une relative sécurité aux cyclistes en modérant la vitesse des véhicules motorisés là où les pistes classiques sont impossibles. Des aménagements supplémentaires (écluses, ralentisseurs) sont parfois nécessaires pour contraindre la baisse de vitesse.
Combien ça coûte ?
- Chaussée à voie centrale banalisée : 75,5€ HT/ mètre linéaire (2023)
Exemples de projets
Coût rapporté au km : 12 500€ / km (2023)
À Lannion, une CVCB de 1,5 km a été aménagée sur une route peu fréquentée reliant Buhulien au collège Coppens, avec marquage des rives, signalétique dédiée et 3 écluses, sans reprise de chaussée. Elle est prolongée par une voie verte.
Coût rapporté au km : 137 520€ / km (2023)
Le département a lancé à partir de 2020 deux expérimentations de chaussée à voie centrale banalisée en milieu rural (RD 201, RD 23). Ces aménagements ont été soutenu par le fonds FEDER via le programme React UE. Ces aménagements de voirie ont consisté en un traitement des accotements et la sécurisation des fossés pour permettre le déplacement des cyclistes sur les bandes de rives cyclables. En entrée d’agglomération, des écluses ont été posées.
Coordonnées des services du Département des Hautes Alpes (05)
Vélorue
La vélorue est un dispositif donnant la priorité aux cyclistes qui ont la possibilité de circuler au centre de la voie, guidés par un marquage au sol. Les véhicules motorisés sont tolérés, et leur vitesse reste limitée à 30 km/h. La vélorue est signalée, en entrée et sortie de site, par un panneau spécifique fait sur mesure. La conception d’une vélorue nécessite une adaptation de la voirie (changement du plan de circulation, trajectoires cyclistes matérialisées, limitation du stationnement motorisé).
Pour plus de renseignements techniques, voir les préconisations du Cerema.
Exemples de projets
Le montant total des travaux : 197 000€ TTC, réalisés sur 2 ans
Mise en résine rue Dandicolle : 80 000€
Aménagement carrefour bvds/Mestrezat/Dandicolle :85 000€
Aménagement zone 30 du quartier : environ 20 000€
Étude Cerema : 12 000€
Coût vélorue : 197 000€ TTC
Coût rapporté au km de voirie : 214 130€/ km
En 2021, Bordeaux Métropole a créé une vélorue sur la rue Dandicolle (liaison centre-ville/CHU), avec marquage chevrons, résine beige et carrefours requalifiés. Intégrée au Réseau Vélo Express, elle s’accompagne d’une zone 30 et d’une évaluation du Cerema.
Couloir bus/vélo
La voie réservée aux bus, ouverte aux cycles, se délimite par une ligne blanche continue ou discontinue, ou par un séparateur physique de type bourrelet ou bordure. A minima, le coût de cet aménagement revient à celui de la signalisation verticale et du marquage horizontal du pictogramme vélo. L’ouverture d’une voie de bus en site propre à l’usage des vélos demande une plus grande largeur pour garantir la sécurité des cyclistes surtout lorsque le couloir bus est “fermé”.
Exemples de projets
Coût par mètre linéaire : 400€ (2023)
La collectivité a réalisé une sur-largeur de la voie d’un mètre lors d’un nouvel aménagement.
Une signalisation verticale (panonceau M4d1) vient en complément du panneau (B27) en entrée de site et du marquage horizontal. Celui-ci se compose du pictogramme vélo en répétition à intervalles réguliers et au niveau des intersections / entrées riveraines, en accompagnement du marquage « BUS » ; une flèche complète cette signalétique pour indiquer le sens de circulation.
Intersections sécurisées (carrefours, ronds-points)
Les intersections de la voirie sont des zones très importantes. Elles méritent autant d’attention que les sections courantes. Non aménagées, elles se révèlent être un lieu accidentogène pour les usagers vulnérables de la route, cyclistes et piétons. La sécurisation des intersections doit apporter une meilleure visibilité réciproque des utilisateurs, une compréhension rapide de la place de chacun et assure la préservation des itinéraires cyclables.
Selon le Cerema, sept règles d’or régissent la conception des intersections pour un niveau maximal de sécurité : 1. Assurer la visibilité réciproque des usagers ; 2. Réduire la vitesse des véhicules motorisés ; 3. Rendre le carrefour lisible ; 4. Préserver la continuité de l’itinéraire ; 5. Offrir des trajectoires les plus efficaces et confortables possibles aux cyclistes ; 6 Réduire le nombre et la surface des zones d’interaction ; 7. Choisir un régime de priorité adapté qui ne pénalise pas les cyclistes.
Pour plus de renseignement techniques, voir la fiche du Cerema dédiée aux intersections cyclables.
Le carrefour
Les évolutions réglementaires adoptées en 2015 du plan d’action pour les mobilités actives (PAMA) ont introduit dans le code de la route plusieurs éléments permettant d’améliorer les conditions de traversées d’un carrefour par les cyclistes, dont :
- La trajectoire matérialisée des cyclistes (double chevron, figurine, flèche) ;
- Le déploiement des sas-vélos en amont de la ligne de feu ;
- Le cédez-le-passage cycliste.
Ces éléments permettent un confort minimal des cyclistes dans les carrefours.
Les intersections conséquentes et/ou problématiques nécessitent le plus souvent un aménagement plus important de la voirie. Le carrefour à feux îlots-amandes ou « carrefour à la hollandaise », préconisé par le Cerema, est un aménagement qui permet de sécuriser et rendre confortable le déplacement des cyclistes. La mise en place d’îlots-amandes permet de séparer le trafic des automobilistes et des cyclistes en intersection et améliore la visibilité de tous. Il tend à se développer partout en France.
Exemples de projets
Coût de l’opération : 127 163€ (2023)
À l’ouest du centre-ville de Bourges, l’intercommunalité et la ville ont requalifié le carrefour Rabelais pour améliorer la sécurité des piétons et des cyclistes. Les modifications incluent :
- Élargissement des trottoirs et déplacement des îlots piétons,
- Réduction des vitesses en contraignant les trajectoires des véhicules,
- Ajout de bandes cyclables sur les branches principales,
- Création de sas vélo pour faciliter les tournants.
Coût de l’opération : 30 000€ (2023)
En mars 2021, le Conseil départemental de Seine-Saint-Denis a aménagé un carrefour hollandais à Pantin sur l’ex-RN3 (devenue départementale) pour sécuriser les cyclistes, dont le trafic est passé de 400 à 2 000/jour. L’aménagement, en mobilier tactique (balises flexibles), assure la continuité cyclable dans le giratoire avec :
- Anneau cyclable unidirectionnel marqué et coloré,
- Lignes de cédez-le-passage pour les véhicules,
- Meilleure visibilité des pistes.
Coordonnées des services du Département de la Seine-Saint-Denis (93)
Le rond-point
Plusieurs aménagements peuvent être réalisés pour permettre une meilleure prise en compte des cyclistes dans les giratoires. Dans les giratoires à faible trafic automobile, la matérialisation des trajectoires dans l’anneau central associée à la mise en place de sas vélo assure un niveau de visibilité pour les cyclistes.
Quand la mixité vélo-voiture n’est pas possible (du fait de la vitesse maximale autorisée ou le nombre de véhicules automobiles), il est possible d’aménager un giratoire à îlots-amandes ou « ronds-points à la hollandaise ». Le rond-point est alors ceinturé d’une piste cyclable (uni-ou bi- directionnelle) ponctué d’îlots aux intersections des branches. La circulation cycliste est prioritaire sur la circulation motorisée.
Exemples de projets
Coût d’aménagement : 1,5 million d’euros(2023)
En juin 2023, le Val-de-Marne a pérennisé un giratoire hollandais sur le rond-point Pompadour (Créteil), anciennement hostile aux cyclistes (40 000 véhicules/jour). Après une expérimentation en 2020 et une étude du Cerema, l’aménagement définitif inclut :
- Anneau cyclable unidirectionnel de 3 m,
- Voies automobiles rétrécies,
- Traversées piétonnes refaites,
- Zone 30 pour apaiser la circulation.
Coordonnées des services du Département du val-de-marne (94)
En septembre 2023, Rennes Métropole a pérennisé le giratoire à ilots-amandes des Gayeulles (1er du genre dans l’agglomération), après une expérimentation réussie en 2021. Le réaménagement définitif inclut :
- Piste cyclable bidirectionnelle indépendante,
- Plateaux traversants pour piétons et vélos,
- Voie unique motorisée pour réduire la vitesse,
- Végétalisation du site. Ce carrefour clé, desservant zones d’activités, écoles et parc, favorise désormais les mobilités actives.
Aménagements transitoires
Les aménagements transitoires, souvent utilisés à des fins d’expérimentation avant pérennisation, se distinguent des aménagements conventionnels par leur rapidité de mise en service. Un simple arrêté de circulation par l’autorité investie du pouvoir de police permet de réaliser un aménagement.
Pour les rendre plus rapidement opérationnelles, les collectivités ont privilégié des matériaux à pose rapide : marquage temporaire, balises (K5C, K5D), éventuellement des séparateurs physiques (K16, bloc béton).
Prix unitaires moyens :
- Signalétique horizontale (peinture)
- Lignes discontinues blanches ou jaunes, 15 cm de largeur (5 u)
Coût moyen par km : 1 080€
- Lignes discontinues blanches ou jaunes, 15 cm de largeur (5 u)
- Signalétique routière amovible (en régie)
- Cônes (K5a), 100 unités au km
Coût moyen par km : 1 600€ - Balise K5C, 100 unités au km (fourniture seule)
Coût moyen par km : 7 800€ - Balises blanches (J11) 150 unités au km
Coût moyen par km : 6 000€
- Cônes (K5a), 100 unités au km
- Signalétique verticale, sur supports
- Panneaux de signalisation routière type B1, B9z, B22a, B40, environ 40 unités par km (selon contexte) ;
Coût moyen par km : 1 150€ - Panneaux de communication sur mesure, coût variable selon dimension et quantité ;
Coût moyen par km : 950€
- Panneaux de signalisation routière type B1, B9z, B22a, B40, environ 40 unités par km (selon contexte) ;
Exemples de projets
Coût global moyen : 11 000€/ km
Travaux externalisés :
- 31 km de bandes cyclables, pistes cyclables, CVCB et de couloir bus ouverts aux vélos ;
- Marquage en peinture jaune et enduit vert aux carrefours ;
- Renforcement par balises J11 ou K5 ;
- Signalisation indicative par panneaux en entrée d’aménagements et rappel par logotype “aménagements Covid” sur chaussée.
- Création de sas vélo pour faciliter les tournants.
Coût global moyen : 2 650€/ km
Travaux faits en régie :
- Achat de 600 cônes base noir h 750 mm
- Impression de 90 panneaux 750 x 1500 mm à fixer sur des supports existants.
Coût global moyen : 37 000€/ km
Travaux essentiellement externalisés :
- 5,4 km de voies sécurisées à double sens ;
- Signalisation, reprise îlots, SLT.
Coût global moyen : 70 000€/ kmCoût pouvant varier, selon le tronçon, entre 80 000€ et 150 000€ pour les pistes bidirectionnelles, et entre 10 000€ et 80 000€ pour les bandes ou couloirs mixtes bus-vélos.Coût de l’observatoire : 250 000€
Etudes (y compris réglages des feux), travaux et maintenance externalisés :
- Pistes bi-directionnelles, de bandes cyclables ou de couloirs mixtes bus-vélos signalés par un marquage au sol (“tempovélo”) et de balises.
La métropole a mis en place un observatoire des déplacements (comptage tous modes et monitoring par un bureau d’études externe) pour alimenter les arbitrages sur le devenir des aménagements.
Coût global moyen : 30 000€/ km
Travaux externalisés :
- Couloir mixtes bus-vélos (avec usage du seul marquage jaune) ;
- Piste cyclable, avec utilisation de GBA plastiques K16 et balisettes J11 de séparation.
Coût global moyen : 8 000€/ km
Travaux marquage externalisés, installation des balises et panneaux en régie municipale :
- Balises de guidage J11 ;
- Marquage bandes cycles et pictogrammes vélo ;
- Panneaux de communication sur mesure (partageons la route).
Coût global moyen : 20 000€/ km
L’essentiel des travaux est réalisé en interne, le coût indiqué est une moyenne entre travaux internes et externes :
- Marquage ;
- Pose de balises jaune J11, tous les 15 m ;
- Dans certains cas, reprise du revêtement (bas-côtés).
Coût global moyen : 10 000€ à 15 000€/ km
L’essentiel de travaux est externalisé :
- Bandes cyclables provisoires, peinture jaune, de type chantier, logos vélos ;
- Balises K5d ;
- Panneaux réglementaires et d’information ;
- Limitation à 30 km/h sur certains axes.
Coût global moyen : 44 000€/ km
Conception en interne, réalisation en externe et entretien quasi quotidien, en interne :
- Marquages au sol ;
- Fourniture et pose de balises K5C sur l’ensemble des itinéraires notamment aux carrefours ;
- Fourniture et pose de séparateurs K16, devant être renouvelé régulièrement ;
- Panneaux pour guider les usagers ;
- Comptage cyclistes.
Coordonnées des services de Département du Val-de-Marne (94)
Coût global moyen : 25 000€/ km
Location sur 3 mois :
- Location de cônes, avec pose et dépose,
- Panneaux routiers